Les coups de cœur de Think tank by 2P
- Le combat important d’Imany contre l’endométriose dans une interview pour « On n’est pas couché » : sa voix, comme tant d’autres, rappelle qu’il est indispensable de porter ces sujets jusqu’aux passeurs-ses d’information, et d’en parler auprès d’un large public. [Vidéo]
- Photographie. Écorchées vives : le travail photographique de Simona Ghizzoni a une dimension éminemment militante, il dénonce les mutilations génitales féminines qui sont encore pratiquées au Kenya, en Éthiopie ou « dans ce pays non reconnu par la communauté internationale qu’est le Somaliland ». [Courrier international]
- Étienne Balibar : « L’universel ne rassemble pas, il divise » : Étienne Balibar sur la violence de l’universalisme. [Le Monde]
- Cosmétiques : le business du naturel : de l’incroyable artificialité du naturel. Une enquête édifiante sur les pratiques de Lush, Caudalie et Yves Rocher. [Les Jours]
- La politique, c’est comme l’apéro – Le billet de Nicole Ferroni : les Français et Françaises sont-ils et elles vraiment désintéressé-e-s par la politique, ou simplement par un certain type de politique ? [France Inter] [Vidéo]
Les lectures de la rédac de Deuxième Page
- Christiane Taubira : Qu’est-ce qui nous rassemble encore ? PARTIE 1 & PARTIE 2 : dans cette émission, l’ancienne ministre de la Justice parle de poésie, de justice, d’humanisme, de littérature et de la gauche française. « C’est une réalité. Je dis, sans fioriture, ce qui est. C’est une réalité que la gauche ne parle plus d’humanisme. En tout cas, la parole qui s’impose comme parole de gauche n’est pas une parole portée par l’humanisme. Nous avons eu des circonstances où nous avons vu que ceux qui parlaient au nom de la gauche avaient bien rompu avec l’humanisme. Sur la question des sans-abris, des personnes exclues, des personnes dans des campements, des réfugiés. Tout ça, ce sont des épreuves de vérité sur la question de l’humanisme. Mais l’humanisme doit inspirer nos politiques publiques dans la société au quotidien. La façon de favoriser certaines filières économiques plutôt que d’autres, certains modes d’organisation économique plutôt que d’autres. Tout ça, c’est l’humanisme qui l’inspire, ou pas. » [France Culture]
- Festival de Berlin 2017 : les femmes cinéastes réactualisent la vision de nos vies : la victoire absolue des réalisatrices à la Berlinale est celle d’une nécessité. La nécessité de faire entendre d’autres voix, de montrer d’autres histoires. [Télérama]
Les articles les plus lus sur Deuxième Page
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- Kubo et l’Armure magique, des souvenirs pour poétiser le monde (2016) : un trésor du stop-motion dans lequel réside une beauté sans pareille, mélancolique et fragile.
- La révolution manquée des sorcières de la République : la chronique du livre de Chloé Delaume. Véritable dystopie, il raconte avec beaucoup d’humour une révolution féministe manquée.
Image de une : © Marie-Ange Rousseau pour Deuxième Page
